Donald Trump a déclaré qu'il n'était pas inquiet des exercices militaires à tirs réels de la Chine autour de Taïwan. Ces exercices, simulant une attaque, sont entrés dans leur deuxième journée mardi. L'Armée populaire de libération (APL) de Chine a lancé ces exercices lundi.

L'APL a effectué des tirs de missiles réels dans le détroit de Taïwan. Trump a déclaré que le dirigeant chinois Xi Jinping ne l'avait pas informé de ces exercices. Le président américain a affirmé entretenir d'excellentes relations avec Xi.

Ces exercices ont immédiatement exacerbé les tensions dans la région. Le gouvernement taïwanais a condamné ces exercices, les qualifiant de provocateurs. Les observateurs internationaux surveillent de près la situation.

La Chine considère Taïwan comme une province sécessionniste. Les États-Unis maintiennent une politique d'ambiguïté stratégique concernant la défense de Taïwan. Cela signifie que les États-Unis ne confirment ni ne nient s'ils interviendraient militairement.

Une nouvelle escalade reste une préoccupation. Des efforts diplomatiques pour désamorcer la situation sont attendus. La réponse des États-Unis est suivie de près.